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something about my world

9 juin 2005

C'est l 'histoire de deux amis qui marchaient

C'est l 'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.
Un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable:
AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE.
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre:
AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui
Demanda: "quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi?"
L'autre ami répondit: "quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer ".

APPRENDS A ECRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.

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9 juin 2005

Mon coeur est blessé

mon coeur est blessé et plonge
dans un océan immense
j'ai cherché celui que mon coeur aime
je ne l'ai point trouvé
tu m'abandonnes je ne sais pas pouquoi
tu sais bien que mon coeur est fragile
tu sais bien que je n'aimes pas souffrir

le telephone pleure en parlant tu raccrochais
comme tu as le coeur dur
je te cherche partout a travers les rues
je n'ai pas eu la chance de te revoir
pour te parler des choses d'hier
dis-moi, ou est l'amour

où sont nos reves pour le future
mon coeur est blessé
je me demande quand viendra le jour
où les larmes cessent de couler dans mes yeux, quand viendra le jour où les peines et les souffrances finissent...

9 juin 2005

Mensonges

Il s’appelle C. Il a été le premier et le dernier jusqu’à présent. C. m’a fait rire. C. m’a fait pleurer. Plus pleurer que rire mais je crois sincèrement que s’il avait eu plus de temps ça aurait été le contraire…Il a été un tournant important dans ma vie : pour moi, il y a avant C. et après C. En l’espace de seulement quelques instants je suis passée du doute à la confiance, du mal être au bien-être, de la monotonie à la passion, des larmes au rire…Il m’a fait vivre des moments de pur bonheur. Puis un matin, plus rien…Je l’ai attendu comme d’habitude mais il n’est pas venu, je l’ai appelé mais il n’a pas répondu…et c’est là que j’ai compris : il est parti.

J’ai découvert par la suite qu’il m’avait laissé une lettre. Il me disait qu’il n’avait pas pu me dire au revoir, que c’était trop dur. Il m’avait promis qu’il reviendrait me voir, qu’il retraverserait la mer une dernière fois pour rester avec moi. Il disait qu’on serait heureux ensemble, qu’on rirait, qu’on sortirait, qu’on s’amuserait, qu’on s’embrasserait…qu’on s’aimerait…

Mais il n’a pas tenu sa promesse. Il n’est jamais revenu. Il ne m’a pas donné signe de vie. Je crois même qu’il a dû m’oublier. Ca fait maintenant un an jour pour jour qu’il est parti. Ca fait maintenant un an jour pour jour que je pense à lui. Mais aujourd’hui, dans mon cœur, cette douleur s’est transformée en souvenir. Les mauvais se sont peu à peu effacés, laissant place aux bons, tout autour de moi me le rappelle : une musique écoutée dans un bar, un endroit où on s’est promenés, une parole qu’il m’a dite…Et c’est ça qui fait mal. Mais bizarrement, des fois ça me fait du bien de me replonger dans mes souvenirs : le revoir, le sentir, l’entendre, l’admirer, l’aimer comme au premier jour comme s’il n’était jamais parti.

Je ne veux plus qu’il revienne maintenant que j’arrive à vivre presque normalement sans lui. Il risquerait de raviver la douleur d’une blessure sur laquelle j’ai posé un pansement il y a bien longtemps tout en sachant très bien qu’elle ne guérira jamais. J’espère au moins que ce pansement aura le mérite d’absorber le sang pour qu’il cesse de couler…

9 juin 2005

Présentation (bizarre?)

Il y aura no présentation car je crois, sans prétention, qu’on ne peut pas me présenter. Il faudrait me connaître pour le faire, or ni moi ni personne ne me connaît. Je peux être à la fois timide et extravertie, drôle et triste, naïve et dangereuse, calme et provocante…sans jamais arriver à trouver de juste milieu. Il y a quand même une description que j’aime beaucoup et qui pourrait très bien me convenir. C’est celle d’un personnage connu que je ne connais pas… Cette description dit : « Il était habillé en noir, comme toujours. Intérieur blanc. Et sur les murs du salon des centaines de visages. Photographies de ses élèves dont il ne connaît même pas le nom. H.B. est un homme de contraste. Le noir et le blanc de son art lui ressemblent. Réservé, silencieux, parce que c’est à l’intérieur que se joue le vrai combat. »

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